La lumière au bout du tunnel
En 2010, un sondage commandé par la coalition Solidarité rurale du Québec (SRQ) indiquait que plus de 700 000 adultes québécois vivant en zone urbaine envisageaient désormais de s’installer dans un milieu rural, dont près de la moitié dans les cinq années suivantes. La tranquillité de la campagne, le rapprochement de la nature et la fuite du stress de la ville étaient les principales raisons invoquées. Ces résultats étonnaient tellement Jacques Proulx qui, à l’époque,…