On dit qu’une année de la vie d’un chien équivaut à sept années chez l’humain. Disons qu’un an, pour un journal, équivaudrait au quart de l’âge du meilleur ami de l’homme. Un petit calcul permet donc de dire que le journal que vous tenez dans vos mains a l’âge respectable de 26 ans et 3 mois.
Sérieusement, le journal entamait sa seizième année d’existence lors du dernier numéro. Ici, fanfare, trompette et confettis.
Au commencement de l’aventure, j’ai à maintes reprises fait des analogies entre l’âge du journal et le développement de l’être humain. De bébé titubant que nous étions, nous avons traversé l’adolescence sans trop de boutons pour enfin aboutir à l’âge adulte.
Les sceptiques auront été confondus.
C’est dans la longévité et la continuité qu’on reconnait la persévérance, l’expérience et l’engagement de gens qui croient en ce qu’ils font.
Au cours de la prochaine année, nous solliciterons votre appui à diverses actions. Nous vous demanderons de faire des caricatures et d’écrire des poèmes que nous publierons. Un souper-spectacle-évènement avec tournoi de jeux de lettres aura lieu en février 2019. Une collecte de fonds sera lancée au cours des prochaines semaines (voir à la page 4). En juin, une exposition ludique et interactive prendra place sur le site des Festifolies.
Sérieusement solidaires, c’est maintenant à vous de démontrer votre attachement au journal.
Aussi, je m’en voudrais de ne pas profiter de cet anniversaire, pour remercier tous ceux et celles qui, de près ou de loin, auront aidé à faire de ce « jeune » journal un succès.
Merci.
Béluga, ma « meilleure amie », avait 77 ans lorsqu’elle est partie au paradis des chiens. Faites le calcul.
Longue vie au Journal et bonne lecture !
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