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- Chronique littéraire d'Armandie -

CHRISTIAN GUAY-POLIQUIN PUBLIE UN DEUXIÈME ROMAN

La rédaction

Christian Guay-Poliquin prend congé de la chronique littéraire pour ce numéro, car il en est cette fois le sujet. À l’occasion de la sortie de son second roman, Le poids de la neige (La Peuplade, éditeur), nous vous offrons d’abord une brève présentation de ce jeune auteur armandois.

Christian Guay-Poliquin
Christian Guay-Poliquin

Après avoir passé son enfance et son adolescence à Pigeon Hill où il est né, il s’exilait en ville pour ses études. C’est à ce moment qu’il a commencé à collaborer au journal Le Saint-Armand, d’abord à travers la chronique Exodus, qui donnait la parole aux jeunes ayant quitté la région pour étudier. Par la suite, il a écrit plusieurs articles, notamment pour couvrir le « printemps érable » de 2012. En effet, comme il poursuivait ses études supérieures en littérature à Montréal, il se trouvait aux premières loges des hostilités. En 2013, il publiait son premier roman, Le fil des kilomètres (La Peuplade, éditeur), qui connut un beau succès, au point d’être aussi édité en France (chez Phébus) puis récemment réédité en format poche (Bibliothèque québécoise, septembre 2016), de même que traduit et publié en anglais sous le titre Running on Fumes (Talonbooks, septembre 2016). À compter de 2014, il tenait la barre de la chronique littéraire d’Armandie dans Le Saint-Armand, puis il a élargi son implication pour devenir adjoint à la rédaction. Enfin, depuis deux ans, il participe, avec d’autres auteurs, à l’événement Le quai des mots dans le cadre des Festifolies en Armandie. Il sera certainement plus présent dans nos pages au cours des prochaines années puisqu’il revient maintenant vivre avec sa conjointe à Pigeon Hill, où il est désormais propriétaire de la maison de son enfance.

Le poids de la neige

vol14n02_oct_nov_2016_19Le 13 septembre dernier Le poids de la neige arrivait dans les librairies. En voici l’essence, tel que résumé sur la jaquette du livre, suivi des commentaires de deux critiques littéraires. Nous reviendrons sur ce texte d’une grande richesse dans le prochain numéro.

Dans une véranda cousue de courants d’air, en retrait d’un village sans électricité, s’organise la vie de Matthias et d’un homme accidenté qui lui a été confié juste avant l’hiver. Telle a été l’entente : le vieil homme assurera la rémission du plus jeune en échange de bois de chauffage, de vivres et, surtout, d’une place dans le convoi qui partira pour la ville au printemps.

Les centimètres de neige s’accumulent et chaque journée apporte son lot de défis. Près du poêle à bois, les deux individus tissent laborieusement leur complicité au gré des conversations et des visites de Joseph, Jonas, Jean, Jude, José et de la belle Maria. Les rumeurs du village pénètrent dans les méandres du décor, l’hiver pèse, la tension est palpable. Tiendront-ils le coup ?

Échos de la presse

« Christian Guay-Poliquin parvient à nous offrir un récit sombre et hypnotisant. Une histoire attentive à la beauté dramatique et froide du paysage, aux liens sociaux qui se disloquent, au désarroi et à la violence endormie, étouffée par l’hiver mais prête à renaître dès les premiers signes de dégel. Un hymne nordique et l’un des romans les plus forts de cette rentrée.

Avec Le poids de la neige, Christian Guay-Poliquin livre une suite inattendue au Fil des kilomètres, en obliquant vers une tout autre direction. » Christian Desmeules, Le Devoir

« Le poids de la neige est un vrai beau roman, un roman rare qui révèle un grand auteur, de ceux qui savent jouer de la simplicité pour donner un sens à une vie qui semble en être dépourvue. Comme quoi il n’est pas besoin de sortir les feux d’artifices et l’abracadabrant pour signer un roman fort, puissant. Les derniers mots du Poids de la neige appellent – exigent – un troisième roman, roman que j’attendrai patiemment. Et puis, pourquoi pas un quatrième. Ainsi, chaque saison aura son roman ! »

Marie-Claude Rioux, blogue Hop ! Sous la couette

Quelques semaines à peine suivant la publication du Poids de la neige, le tirage s’épuise déjà. Comme l’écrit Christian sur sa page Facebook : « L’automne est chaud et Le poids de la neige fond rapidement. » Si bien que l’éditeur, La Peuplade, a décidé d’aller en réimpression.

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