Christian Marcotte : entre culture… et culture
Le parcours de celui qui se désignait avec humour sous le sobriquet de « Vieux Bouc » n’est pas banal. Entre autres choses parce qu’il est arrivé dans la région non pas en voiture, comme tout le monde, mais… à cheval. C’est ainsi que, par une belle journée de l’été 1976, il débarque chez le cinéaste Jean-Pierre Lefèbvre qui, contre le gîte et le couvert de l’homme et de sa bête, l’embauche comme assistant-monteur pour son film…