Le 5 septembre dernier, alors que deux de nos collaborateurs assistaient à l’assemblée du conseil municipal, un individu crevait les quatre pneus de leur véhicule. Loin de nous l’intention de spéculer sur l’identité de cette personne ni sur les raisons qui l’ont poussée à commettre ce geste, mais il est de notre devoir de prendre position pour dénoncer ce genre de procédé, qui est contraire à l’esprit communautaire et qui est susceptible de créer un climat d’insécurité parmi nous. Les actes de violence (contre les objets ou les personnes) sont, à notre avis, un piètre substitut à l’échange civilisé d’idées et de points de vue.
Le dialogue plutôt que la violence
La Rédaction