Un boulevard, 34 artistes
Fruit de la pandémie de COVID-19 comme bien d’autres initiatives, le Boulevard des arts s’est imposé à ses initiateurs comme un antidote contre l’ennui généralisé ayant caractérisé cette longue période de stérilité culturelle. C’est du moins ainsi que Louise Charlebois a vu la chose. Nouvellement installée à Saint-Armand et proche de Michel Guérin qui, lui, se représentait plutôt clairement le projet qu’il avait testé à petite échelle quelques années auparavant, l’organisatrice qu’elle avait toujours été…