Les données objectives colligées par les scientifiques les plus compétents de la planète, ceux de l’Organisation des Nations unies (ONU), de l’agence spatiale américaine (NASA), de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA), du Groupe intergouvernemental d’experts sur le climat (GIEC), de l’Organisation météorologique mondiale (OMM), pour ne nommer qu’eux, sont on ne peut plus claires : nous n’échapperons pas aux conséquences de la pollution généralisée.
Nous le savons tous maintenant, à l’exception, peut-être, de quelques négationnistes-libertariens déterminés à ne pas mettre l’épaule à la roue, à ne rien faire pour nous sortir du pétrin.
Pour tous les autres, et ils constituent une nette majorité, le temps de passer à l’action est venu. À tous les niveaux : municipal, provincial, fédéral, continental et international, dans cet ordre, puisque que le mouvement partira d’en bas, de ceux qui voient clair et qui n’ont rien à faire des bêtises des bien nantis négationnistes-libertariens dont les fortunes dorment dans les paradis fiscaux, ni de leurs larbins.
Dans ce numéro, comme dans ceux qui ont précédé et dans ceux qui suivront, nous nous efforçons de rendre compte de cette inévitable réalité qui se manifeste aussi à l’échelle de notre territoire.