Deux vraies belles journées où le soleil, la joie de vivre et le cinéma s’étaient donné rendez-vous.
Cette troisième édition confirme que le FeFiMoSA est bien implanté, qu’il a pris de la maturité et qu’il semble être là pour revenir chaque année.
Le monde de Saint-Armand, et d’ailleurs, est venu, surtout pour le cinéma, mais aussi pour cette ambiance particulière de fête au village.
Ici, pas de vedettariat : artistes, réalisateurs, spectateurs et simples visiteurs se côtoient comme s’ils étaient de la même famille. Le FeFiMoSA, ce n’est ni Cannes, ni Montréal ou Toronto, ni Berlin ou Venise. C’est, comment dire ?… chez nous.
Le Journal y tenait un kiosque où un studio vidéo improvisé recueillait les commentaires, les impressions et les souhaits de ceux qui voulaient bien se prêter au jeu de l’interview.
Plusieurs personnes ont témoigné de leur désir de pérennité pour le Journal et le Festival, en apportant critiques et idées constructives.
Henrik Maeng et Andrée Morissette, accompagnés de Thomas qui adore le tram, et d’Anne-Marie qui adore les bulles, sont là pour découvrir le Festival et encourager Martin Morissette (frère d’Andrée), réalisateur de Silence on crée.
Diane et André Landry, de Montréal, passent leurs vacances à explorer les Cantons-de-l’Est. Ils ont découvert Saint-Armand par hasard, juste le jour du FeFiMoSA. Ils sont tombés sous le charme et jurent d’y revenir.
Maurice Séguin et Michelle Gauthier, de Eastman, sont venus au Festival, séduits par Micheline Lanctôt, qui a si bien annoncé le FeFiMoSA dans La voix de l’Est, et fascinés par les nouvelles « folies » d’Armand Vaillancourt.
Diane Duhamel et Philippe Dupuis, de Saint-Lambert, sont des cyclotouristes. Ils considèrent la région de Saint-Armand comme idéale. Ils ont jumelé vélo et cinéma. Ils trouvent le village et son festival tellement agréables et surtout relax.
Parallèlement à l’exposition organisée à Frelighsburg par Festiv’Art, le FeFiMoSA présentait en première mondiale un documentaire sur le peintre Seymour Segal.