Vous avez été nombreux à réagir positivement ou négativement au dernier numéro du Journal, ce qui démontre l’intérêt des lecteurs pour leur petite publication locale. Dans une saine démocratie, les médias jouent un rôle prépondérant, et la liberté d’expression est fondamentale.
Imaginez, si la commission du juge Gomery s’était tenue à huis-clos, aurions-nous eu une juste idée de ce qui s’est réellement passé. La politique n’empêche malheureusement pas de se salir les mains, et le journalisme est là pour nous le rappeler.
Argent propre ou argent sale, pot-de-vin, magouille, surfacturation, financement occulte, heureusement rien de tout cela au Journal. Toutefois, notre besoin de financement demeure entier, et je vous invite à lire en page 4 l’annonce de la première activité de collecte de fonds, afin d’assurer la prochaine année financière du Journal qui, je vous le rappelle, commencera sous peu sa troisième année d’existence. L’événement, nous l’espérons, attirera autant les ruraux que les néos (puisque c’est comme ça qu’il faut se nommer), et qu’il contribuera ainsi à dynamiser notre collectivité. Dans ce douzième numéro, encore une fois plusieurs bons articles, des nouveaux collaborateurs, des nouveautés. Malheureusement aussi des départs, ceux de Siris et de Marie-Jeanne partis vivre sous de nouveaux cieux.
Pour la énième fois, les pages du Journal sont ouvertes à tous, n’hésitez pas … et bonne lecture.